les jardins de steph

mercredi 5 mai 2010

Classes des roses


Les spécialistes distinguent généralement les « roses anciennes » des « roses modernes ».

Les premières sont généralement les cultivars datant d’avant 1867, dont beaucoup ont été perdues. Parmi celles qui sont encore cultivées figurent :

  • des « roses galliques » (Rosa gallica), surtout ‘Officinalis’ et ‘Cardinal de Richelieu’,
  • des « roses à cent feuilles » (Rosa centifolia), surtout « pompon rose » (‘Pompon de Meaux’) et « pompon rouge » (‘Pompon de Bourgogne’),
  • des rosiers mousseux qui sont des mutations stériles de centifolia (ou de rosiers de Damas) comme ‘Salet’ ou ‘Mousseline’,
  • les « rosiers de Damas » (Rosa damascena), hybrides naturels apparus en Asie Mineure, de Rosa gallica × Rosa phoenicia, avec la ‘Rose de Puteaux’ cultivée pour ses pétales séchés et la ‘rose de Recht’, très répandue en Angleterre[4],
  • quelques « rosiers de Portland », comme ‘Jacques Cartier’,
  • les « Noisettes », ou « thé noisette », surtout ‘Gloire de Dijon’, ‘Rêve d’or’ et ‘Madame Alfred Carrière’
  • quelques « Bourbon » : ‘Louise Odier’ et surtout ‘Souvenir de la Malmaison’,
  • les « rosiers blancs » : Rosa ×alba, la rose d’York, Rosa alba semiplena, ‘Cuisse de nymphe émue’ et ‘Pompon blanc parfait’.

En 1867, la création de ‘La France’, la première hybride de thé (dérivée des roses importées de Chine avec les cargaisons de thé) marque le début des « roses modernes » que sont les rosiers « à grandes fleurs », les « floribunda » et les « rosiers anglais ».

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